Loïd

Pourquoi nous
avons créé LOÏD

Le point de départ : une quête sans direction

Je m'appelle GRL — c'est le nom que j'utilise sur les réseaux, par choix d'anonymat.

Quand j'ai terminé mes études, j'étais dans cette phase étrange où l'on sait qu'il faut construire quelque chose, mais où rien ne semble vraiment nous appeler. Je voulais créer, entreprendre, aider des gens à grande échelle... mais aucun des projets que je tentais ne me donnait cette sensation d'évidence.

La prise de conscience : un problème que je vivais au quotidien

C'est en observant ma propre vie que la réponse est arrivée.

Je n'avançais plus. Je me sentais dispersé, incapable de rester concentré, toujours ramené à mon téléphone comme si je n'étais plus maître de mon temps. À un moment où j'avais absolument besoin d'être productif — pour trouver ma voie, pour créer, pour gagner ma vie — je me suis retrouvé piégé dans la même spirale que des millions de personnes : le scroll infini, la distraction permanente, l'impression de ne plus vraiment vivre le moment présent.

C'est là que j'ai compris que mon problème n'était pas uniquement le mien. Et qu'il pouvait devenir ma solution.

La naissance d'une idée : créer un objet qui libère

J'ai commencé à me renseigner, réfléchir, analyser et c'est là que je suis parti sur un objet simple, physique, capable de couper ce lien invisible et addictif que l'on entretient avec notre téléphone. J'ai cherché ce qu'il était possible de faire techniquement, comment transformer cette idée en outil réel.

C'est comme ça que LOÏD est né : d'un besoin profond de reprendre le contrôle... et de l'envie d'aider d'autres à faire la même chose.

La rencontre décisive : le rôle essentiel de Killian

Mais très vite, je me suis heurté à un obstacle évident : je ne suis pas développeur.

Il me fallait quelqu'un d'aussi motivé que talentueux, capable de donner vie à une application qui n'existait nulle part ailleurs. Naturellement, j'ai pensé à Killian Jeuffroy, un ami rencontré durant mes études. Je lui ai présenté le projet, sans vraiment savoir s'il accrocherait.

Il a dit oui immédiatement.

Et grâce à lui — grâce à son travail, son sérieux et sa capacité à apprendre ce qu'il ne connaissait pas encore — l'application LOÏD a pu naître.

Sans lui, rien de tout cela n'aurait été possible, et je lui en serai éternellement reconnaissant.

Les débuts difficiles : un projet construit avec peu de moyens

Ce qu'on ne voit pas derrière l'écran, c'est que LOÏD n'est pas né dans le confort.

L'argent n'était pas de mon côté. Chaque décision, chaque dépense, chaque prototype représentait un risque.

J'avançais avec prudence, souvent avec la peur de me tromper, mais en sachant que ce projet en valait la peine.

Parce qu'il était juste.

Parce qu'il répondait à un problème réel.

Et parce qu'il m'a déjà transformé, moi.

La vision : ramener les gens à l'essentiel

La vision était claire dès le départ :

amener une solution simple, physique et accessible au marché français ; éduquer sur l'impact réel de la distraction numérique ; et aider chacun à retrouver sa présence, son attention, et le temps qu'il croyait avoir perdu.

Le mouvement : LOÏD, plus qu'un objet

Aujourd'hui, LOÏD n'est pas simplement un objet ou une application.

C'est un mouvement en construction.

Nous améliorons LOÏD jour après jour, pour proposer le produit le plus juste possible, et bâtir une communauté de personnes qui partagent un même objectif :

reprendre le contrôle, se recentrer, et vivre enfin ce qui compte vraiment.

Et ce n'est que le début.

GRL

Fondateur de Loïd